Cette curieuse croix, sculptée dans une épaisse pierre avec son socle, repose sur un socle monolithe appuyé contre un mur maçonné. L’ensemble semble être un réemploi, c’est-à-dire qu’il proviendrait d’un autre site, probablement d’une ancienne chapelle ou d’un monument disparu. Ce réemploi témoigne des pratiques anciennes de récupération de matériaux et d’objets sculptés, souvent liées à des reconstructions ou à des changements d’usage des édifices religieux.
Source : Serge Petit, Claude Royère