Cette croix est en fonte, avec un croisillon aux extrémités trilobées. On y observe un serpent, qui représente Satan et le mal, en opposition au Christ et au bien, tentant de pénétrer dans une urne ou amphore, symbole de l’enveloppe corporelle de l’âme. Quatre palmes lumineuses ornent le centre de la croix. Une pierre située devant la croix est un reposoir en réemploi, provenant d’une ancienne croix scellée au plomb. Initialement, cette croix se trouvait près de la porte de l’église avant d’être déplacée. Au XIXe siècle, l’emploi de la fonte s’est développé, associé à la fabrication en série.
Source : Claude Royère