Cette croix en granit, aux arêtes chanfreinées, a perdu son fût. Elle est aujourd’hui insérée dans un socle monolithe, lui-même posé sur une épaisse table qui a été cassée puis restaurée au moyen d’agrafes forgées par un artisan local. L’ensemble repose sur un mur en maçonnerie traditionnelle. L’histoire de cette croix demeure inconnue.
Source : Ginette Jouardon, Claude Royère