Cette croix est gravée au sommet d’un linteau en accolade, placé au-dessus d’une ancienne porte aujourd’hui murée. Selon la tradition locale, quelques moines auraient résidé à Lafat. Les maisons situées derrière l’église auraient servi de lieu d’habitation. L’un de ces bâtiments a livré un meuble de sacristie, vestige probable de cette présence religieuse.
Source : Claude Royère