De cette haute croix, autrefois en bois, il ne reste qu’une épaisse table en granit, moulurée d’une gorge et d’une doucine, avec une large mortaise à l’arrière. Elle repose sur un piédestal parallélépipédique, enterré dans le substrat. Alain Navarre raconte, le 8 août 2025 : « Lorsque nous rentrions de l’école avec les copains, nous entrions dans l’église, passions par l’ouverture dans le chœur, puis nous descendions par cette croix. »
Source : Annie et Joël Beauvais, Geneviève et Alain Navarre, Claude Royère