Cette croix en granit, autrefois brisée, a été restaurée à l’aide de plusieurs fragments provenant d’anciennes croix. Au centre du croisillon, on distingue une petite niche en léger relief. De chaque côté, les lettres P C et la date 1830 sont gravées en creux. Le fût, dont une partie présente une forme octogonale, est inséré dans un socle en pyramide tronquée, finement mouluré. L’ensemble repose sur un emmarchement à deux degrés, formant une base stable et soignée.
Source : Claude Royère