De cette croix, il ne reste aujourd’hui que le socle, situé dans une propriété privée, dont la provenance reste indéterminée. Dans cette même propriété, j’ai également découvert, près du four à pain, le fût chanfreiné présenté ci-dessous. La mortaise du socle ne correspond pas au diamètre du fût, ce qui permet de conclure qu’il s’agit de deux croix différentes, toutes deux d’origine inconnue.
Source : Claude Royère